Le combat ...

La lune est haute et le village calme.
Je me décide a faire une petite excursion dans ce village, je n'aime pas venir le jour, les villageois on peur de mon apparence ...
Les portes Sud d'Anthracite sont froides et oppressante, mais la vu d'un petit coin de verdure éclairer par la lune fit disparaître cette sensation.
Je suis allé vers ce petit paradis a mes yeux, cette douceur dans l'aire, ce doux parfum, me rappelle un endroit que j'aime tant.
J'aimerai pouvoir y retourner.
Mais ce calme ne fut que de courte durer, a peine le silence m'avait enlacé qu'un bruit aigue m'arracha de ce rêve.
C'est bizarre pourquoi personnes ne sort en entendant ce bruit ?
On dirait que le cris n’ont pas perturbé leur sommeil, mais qu'est ce que c'est?
J'avance dans une petite ruelle doucement, la mon corps ce fige, je ne peut plus bouger ...
Une énorme araignée ayant le pouvoir de la terre ce trouvait devant moi, je n'eu pas le t'en de fuir ni de bouger que le monstre fonça sur moi.
La violence du coup me projeta sur le mur d'une maison, quelques égratignure mais au moins j'avais repris mes esprit.
Je décidais d'attaquer ce monstre ... je me concentra et tout doucement mon corps changea, mon ouïe s'affûta d'avantage, mes mains laissèrent apparaître progressivement des griffes.
Je n’étais ni animal ni humaine, je n’étais qu'une arme, créer pour servir les humains ...
Quand j'était sous cette forme je ne peux plus contrôler mes émotions ni mes gestes...
Et avant même que j'ai pu le réalisé, le monstre fut totalement anéanti, on ne pouvais voir de lui que des lambeaux de chair et de sang éparpiller dans la ruelle.
Ce monstre est mord mais il m'a bien amoché aussi, mon sang se mêle au sien.
C'est la première foi que je me suis battu mais cela ne plais guère, mais j'ai le sentiment qu'il faudra un jour que cela ce reproduise.
Pour devenir aussi forte que lui je doit évoluer et c'est pour sa que je veux devenir assassin, ils pourront m'enseigné leurs techniques ... et un jour ... je le tuerai ...
( je repartit dans la forêt pour fuir les humains ... )

Mon sang ne s’arrêtait pas de couler mais je ne pouvais pas retourner au village, je me ferais tuer ...
Des bruits de pas ?
Cette personne doit être bien entraîné, car aucune ouïe humaine ne pourra l'entendre ...
Que cherche t'elle ? Elle vient attaquer le village ? Que veut elle ?
Me tapissant tout en silence sous un tas de feuille, j’attends que le visiteur arrive ...
Les bruits de pas son de plus en plus fort, il ou elle est tout seul.
Je vois ses jambes passer devant moi, ses chaussures sont couverte de sang, il transporte une longue épée elle même recouverte de sang ( humain ? ), je peut le sentir et c'est bien un homme mais il y a quelque chose qui change de l'odeur humaine, je ne peut le décrire.
Je n'aime pas cette sensation, je ne peut pas le laisser approcher des villageois sans rien faire, même s'ils ne m'aiment pas je veux les défendre.
C'est décidé ... j'attends qu'il soit passer, c'est a ce moment de je saute sur lui pour le désarmé, mais avant même que je ne puisse réagir, il se retourna comme s'il avait tout prévu, me plaqua au sol pour que je ne puisse bouger.
J'essayai de me sortir de la mais mes blessure m'en empêcha.
C'est a ce moment la que je croisa son regard, un regard ressemblant a ceux d'un félin, je fut figer.
Son regard était tellement intense, que je ne pouvais rien faire.
Puis la douleur me fit détourner le regard, très vite ma vu devint flou puis ....

Je revenais tranquillement de l'enclos où j'avais tondu des moutons, les rues étaient agréablement sombres et calmes. Seul le claquement des chaussures d'une quelconque patrouille de flicaille se faisait entendre au loin.
Me dirigeant doucement vers le tailleur, mon regard fut attiré par un corps qui tombait à terre. La nuit était noire et malgrès mon "avantage", je dû m'approcher plus pour distinguer un tas de feuille maculé d'une texture qui me faisait penser à du sang.
La boutique d'Ouragan n'était plus qu'à quelques maisons, je voyais au loin l'enseigne prestigieuse.
C'est à ce moment précis où la personne que j'aperçu plus tôt fondit sur moi en surgissant du tas de feuilles. D'apparence fine, je décidais de l'empoigner aux avant-bras tout en bloquant ces jambes avec l'une des miennes et basculant en avant pour immobiliser l'individus au sol, sur le tapis de feuille.
Je releva la tête pour voir le visage d'un mon agresseur. La sensation entre sa poitrine et la mienne aurait pourtant dû me mettre la puce à l'oreille... Nos regards se croisèrent et un silence s'installa. Le calme et la noirceur de la nuit me donna l'impression que cela dura une éternité. Si bien que je commeçais à la voir tourner de l'oeil. Elle avait effectivement le corps couvert de blessures profondes.

Je repris mes esprit et l'a prise dans mes bras afin de l'emmener rapidement à l'hopital. J'étais angoissé à l'idée d'avoir pu agraver ses maux mais elle était conciente. J'arrivais donc, me ruant dans l'entrée de l'hopital réclamant un médecin... Aucune réponse. L'hopital était désespérement vide. Seule la lumière de la salle d'urgence était allumée. A l'époque d'Eva, cela n'arrivait jamais.
Je la déposa délicatement sur un brancard en lui demandant de se reposer, que je m'occupais de tout. Je lui procurais alors les premiers soins sans me poser plus de questions. Au point tel que je me demandais si je n'avais pas été médecin dans une autre vie.
Après m'être rincé les mains machinalement, je me rendis compte que ses vetements étaient complètement déchirés et macculés de sang. Je la contemplais muet tant elle était... féline. Nos regards se croisèrent à nouveau et je me senti gêné. Baissant les yeux, je voyais la laine que j'étais parti récupérer en début de nuit. Elle aura bien du mal à trouver des vêtements qui lui sied.

Elle était à présent hors de danger. Je lui anonçait que je reviendrais dans peu de temps, qu'elle se repose en attendant et qu'elle ne craignait rien ici.
Je me mis donc en route pour ma destination initiale, la boutique de haute couture...

Alors que j'etudiais avec acharnement à l'université pour perfectionner mes connaissances en medecine, mon bipper m'avertit qu'il y avait de l'activité dans l'hopital d'Eva... Dès les derniers mots du professeur prononcés je sortai en trombe pour aller voir de quoi il en retournait.
A peine arrivé, je remarquai des traces de sang sur le sol qui dénotaient avec la pâle lueur des néons sur le carrelage blanc. Après avoir suivi ces traces, je me trouvai dans la salle des urgences. Là, plus personne, mais une odeur mélée de sang et... d'autre chose, comme une odeur... animale. Etrange, me dis-je, La table d'intervention a l'air d'avoir servi, mais les instruments sont propres, comme si un medecin avait opéré ici dans les règles de l'art. Sachant Eva loin d'ici, c'est la tête pleine d'interrogations que je rentrais dans la maison familiale, penaud, avec cette odeur toujours dans mes narines.

Son regard ne sort pas de ma tête, ne n'arrive pas à m'en défaire ...
Qui était t-il ?
J’ai toujours cette impression bizarre en moi, pourquoi qu'il m'ai soigné alors que je voulais le tuer ?
Quand je me suis réveillé, il m'avait transporté dans cet hôpital mais il avait disparu, pourquoi ? Pourquoi faire cela ? Et alors que je croyais cet endroit vide, des humains commencent à arriver, ma tête ........................ je ne supporte plus l'odeur humaine, je ne sais pourquoi, j'ai l'impression qu'ils sont une menace, alors que je suis sur du contraire.
Que m’ont il fait dans ce labo, qu’elles étaient cette expérience qu’ils voulaient faire …
Pour l'instant faut que je me calme, ici, dans la forêt, personne ne me trouvera et je pourrais reprendre des forces.
Mais ............................................... Qui était-il ?